- Le soignant : le Père Anatole* force trop avec son déambulateur, il faudra penser au fauteuil roulant !- Un OMI : Mais il se relève et a retrouvé une autonomie qu’il avait perdue en grande partie ; le fauteuil serait pour lui une re-chute !
- L'homme d’entretien : je vais mieux lui régler la hauteur de son déambulateur !
Ainsi fut fait ! et Anatole marche beaucoup mieux !
* Nous avons modifié le prénom de l’intéressé !
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Ses amis : nous allons sortir notre ami le Père Jean-François*, ça lui fera du bien de se changer d’air !Un OMI : mais chaque fois que vous le sortez, il est ensuite complètement désorienté pendant plusieurs jours ! Pourquoi ne pas manger ici avec lui et ensuite se promener un peu avec lui ?
Le soignant : Mais si celui redonne du goût à la Vie, ça vaut la peine que vous le preniez davantage en charge les jours qui suivent !
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- Le jeune soignant : Alors Père René*, ça va ?
- René (OMI très épuisé) : je me sens très mal ! très mal !
- Le jeune soignant : non ! ne vous inquiétez pas ! ça va aller mieux !
- René : Non ! je vous assure : je vais TRES MAL…. Mais vous ne me croyez pas !
- Un OMI : oui, je te crois !
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Un Parent (au téléphone) : Je suis à Hongkong, le cousin du Frère Théophile*, je suis très ami du ¨Professeur Doctisssimus qui a une chaire de pneumologie. Je souhaiterai que vous preniez un rendez-vous avec lui
Un OMI : mais ce n’est pas à moi de prendre rendez-vous. Adressez-vous au Médecin qui le suit régulièrement, le Docteur Doctior.
[Le Parent (au téléphone) prend rendez-vous pour le Frère Théophile auprès du Professeur Doctissimus et communique ce rendez-vous à la Direction
Le Docteur Doctior : j’annule ce rendez-vous car le Frère Théophile n’a pas besoin de cet examen.
Nous aurions pu trouver d’autres dialogues (pas si ) imaginaires !
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MORALITES provisoires :- Chaque personne doit être entendue dans ce qu’elle exprime !
- Personne ne peut avoir une solution définitive.
- Tous doivent entrer en dialogue avec le seul souci de la Personne unique qui est en face de nous.
