lundi 8 août 2011

Flash spirituel

L'autre jour à la messe, c’était l’Evangile suivant :

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (II, 25-30)

En ce temps-là, Jésus prit la parole : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l'as révélé aux tout-petits. Oui, Père, tu l'as voulu ainsi dans ta bonté. Tout m'a été confié par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler.
« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »

Après la messe, nous nous retrouvons dans notre salle de communauté pour un petit apéritif. La conversation vient sur la manière de traduire l’Evangile – et spécialement la réalité de « joug » - dans les différentes cultures : inuit, africaines…

Et l'on entend la voix d’André RIPOCHE qui nous dit :

« Moi cet Evangile me convient très bien !
Pas pour les intellectuels et pour ceux qui savent tout !

Moi je n’ai plus rien !
Alors je suis prêt à accepter son joug »

2 commentaires:

bénédicte a dit…

le joug se porte toujours à deux , ainsi il devient bien plus leger surtout quand c'est le Christ lui mm qui nous accompagne

bénédicte a dit…

le joug se porte toujours à deux , ainsi il devient bien plus leger surtout quand c'est le Christ lui mm qui nous accompagne